Chef-d'oeuvre
du cinéma français avec
Pierre Fresnay et Pierre Trabaud de
Léo Joannon.
C'était
l'époque où la France savait
encore faire du cinéma et les
catoliques possédaient encore 50%
des salles de cinémas.
Aujourd'hui un très beau
film comme "Je m'appelle Bernadette" a
été censuré par les
trois groupes Gaumont-Pathé CGR et
UGC qui contrôlent 98% des salles de
cinéma grand-public en France. Pire
encore La Croix, titre : «Je
m'appelle Bernadette»: Lourdes, sans
grâce. Un article du journaliste
BRUNO BOUVET qui confond le film de Jean
Sagols avec le film de Lourdes de Jessica
Hausner avec Sylvie Testud. Par contre un
film horrible et minable comme De rouille
et d'os est diffusé dans toute la
France et bénificie d'un budjet de
plus de 20 millions d'euros dont le tiers
est financé par nos impôts.
Au même moment des centaines de
salles de cinémas paroissiaux sont
fermées.